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Écrite par Bidi le 07/01/2007 à 15h02
Note : 15,7/20 Catégorie : Futur de la série
Lue 4972 fois Quelques années ont passé, nos héros ont réussi à enfermer XANA sur Lyoko et à éteindre le Supercalculateur. Aujourd'hui au Lycée, ils constatent des évènements pour le moins singuliers...
 
 

 
 

Chapitre I : Le retour

C'était une nuit noire. A chaque souffle de vent, on espérait voir s'envoler la noirceur de la nuit comme une traînée de poudre, comme un souvenir diffus... Mais la nuit restait noire. Toute lumière ne semblait pas éclairer, mais plutôt former un halo blanchâtre, contrastant avec la noirceur ambiante. Pourtant, personne ne semblait le remarquer : toute la ville dormait. Le seul signe d'une activité quelconque émanait des lampadaires. Au milieu de la nuit, quiconque ne dormait pas aurait perçu un cri strident, comme une sonnette d'alarme. Un hurlement à réveiller un mort. Le genre de cri que l'on ne préfère ne pas entendre. Le genre de cri qu'on préfère oublier plus vite que l'on ne l'entend. Mais pour comprendre l'origine de ce cri de terreur, revenons quelques heures en avant...

Marck Deeper était un pirate inconnu des services fédéraux du pays. Il passait ses journées et ses nuits sur le Réseau, récupérant tout ce qui lui passait sous la main dans le but unique de réaliser SkippY, le virus révolutionnaire sur lequel il travaillait depuis déjà 5 mois. Cette après-midi là, Marck avait récupéré un package sur un serveur inactif de Peer-to-peer. Il était certain que ces données mettraient SkippY sur une nouvelle rampe, pour le hisser au niveau des malwares les plus connus au monde. Après deux heures de téléchargement, il récupéra les fichiers sur son disque dur. Après un petit farfouillage en profondeur, il découvrit un petit programme nommé xRepare. Il le lança, se doutant bien de l'effet produit : reconstituer le programme entier. Il le lança, et après un court instant, il lui indiqua la mémoire de calcul nécessaire à la réalisation de son projet. C'était énorme, mais Marck avait en sa possession plusieurs ordinateurs ultra puissants. Il les brancha de façon a ce que l'utilitaire puisse se lancer. Il remarqua qu'il récupérait des packages similaires à de multiples endroits sur la Toile.

Après plusieurs heures de calcul intensif, le programme avait fini son travail : le programme était reconstitué. Marck se demandait de quoi il s'agissait pour avoir besoin d'autant de puissance, mais ne se posa pas trop de questions et le lança. Après quelques minutes, il était connecté à des milliers d'ordinateurs simultanément. Il était fasciné par ce logiciel : avec ça, il pourrait causer des dégâts ! Soudain, l'écran devint blanc. Une blancheur à rendre envieux les plus grandes marques de lessive. Puis, plus rien. L'écran était redevenu noir. Après quelques minutes, un éclat rouge traversa le moniteur, et une matière visqueuse, ni liquide, ni solide en sortit. Elle pénétra dans la bouche de Marck. Il hurla.

Lorsqu'il se réveilla, il était allongé sur un trottoir, près d'un petit pressing miteux. Il entra dans la boutique et se trouva nez à nez avec un agent de police. Il bredouilla quelques excuses et avança jusqu'au comptoir
- Bonjour monsieur. Pourriez-vous m'indiquer la rue de Venise s'il vous plaît ?
- Rue de Venise ? ‘Connais pas.

Chapitre II : Signes


Marck sortit après avoir bredouillé un vague merci à l'homme. Il trouva après avoir erré quelques minutes ce qui devait être la rue principale. Là, il comprit qu'il n'était pas chez lui. Il se trouvait dans une ville totalement inconnue. Il regarda alors sa montre. Trois jours s'étaient écoulés depuis les derniers souvenirs qu'il avait. Il erra encore un quart d'heure et arriva devant un pont menant une usine qui semblait désaffectée.

- C'est donc pour ça que la matrice est couplée avec Bryo3 via le système de liaison que nous avons vu. Des questions ? demanda le professeur. Un jeune garçon blondinet, les cheveux en bataille leva le bras, l'air légèrement blasé. Oui, Jérémie reprit le professeur.
- Monsieur, il ne serait pas plus simple de défragmenter le coupleur séquentiel et de joindre les deux systèmes via Ethernet grâce à Maylita X2 ? dit-il.
- Jérémie, mon garçon, reprit le professeur. Je sais que ton petit programme minable te tiens vraiment à coeur, mais tu est un cas si désespérant que je n'ai même plus le courage de te dire de ne pas te croire supérieur à moi. Sur ceux, si il n'y a pas d'autres questions, le cours est terminé.
La foule compacte des élèves prit alors le chemin de la sortie de la salle en amphithéâtre ou avait lieu le cours de Réseaux. Jérémie, contrairement à ses habitudes, fût le premier à sortir de la ''Salle de torture'', comme il disait. Il marcha un peu au hasard, déambulant dans les couloirs bondés du lycée d'informatique avancée ou il avait été admis. Une fois arrivé devant une autre salle, il attendit. Quelques minutes plus tard, il entendit à travers la porte le professeur annoncer la fin du cours. Trente secondes plus tard, après de multiples raclements de chaise, la porte s'ouvrit, libérant dans le couloir désormais vide une foule d'élèves avides de retrouver la cafétéria pour discuter. Jérémie héla alors une jeune fille aux cheveux roses, celle qui faisait toujours chavirer son coeur.
- Aelita, cria-il en courant pour la rattraper.
- Ah, Jérémie ! J'allais te chercher en Réseaux, répondit la jeune fille.
- Pff répondit il. Si ça continue, tu n'auras même plus besoin de m'y retrouver
- Ah... monsieur Zaloul te portes toujours dans son coeur on dirait
- Oh oui, dit il d'un ton ironique, On s'aime, rien ne pourra nous empêcher de nous revoir ! Tout en parlant, il entamait une valse grossière avec un partenaire invisible. Oh Zaloul de mon coeur...
La jeune fille pouffa de rire.
- Oh, arrête Jérémie. Tu est ridicule !
Il s'arrêta et lui proposa d'aller à la cafétéria. Ils traversèrent le parc et entrèrent dans le bâtiment. Après avoir pointé leurs badges, ils montèrent au self et remplirent leurs plateaux.
- Pfff soupira Jérémie. Ils pourraient faire un effort ! C'est la cinquième fois ce mois-ci qu'ils nous servent la même chose !
- Bah ! Tant que ça n'a pas déjà été digéré, c'est pas la fin du monde ! répondit Aelita, toujours optimiste.
- Tu parles ! "Ça" à dû faire un séjour prolongé dans l'estomac de Zaloul
- Mais oublie-le à la fin ! Je comprends que tu ne l'aimes pas, mais tu l'as en cours que trois heures par semaine, mais même le reste du temps, tu ne parles que de lui.
- Moui, c'est vrai... Mais avoue que c'est difficile d'oublier sa face de babouin ! Il me fait regretter notre bon vieux Jim !
- Ah... oui, le bon vieux temps... Les attaques de XANA, les virées sur Lyoko, les tours activées, les territoires fantômes...
- Tous les soirs, je me rappelle la fois ou on a piégé XANA dans le supercalculateur en détruisant le coeur de Lyoko.
- Mais quand-même ! Imagines qu'il se réactive maintenant ! On ferait comment ? Avec Odd et Ulrich à un bout de la région chacun, Yumi en stage à Tokyo... On serait que nous deux.
- Oh, c'est pas la peine d'avoir arrêté de parler de Face-De-Babouin pour imaginer le pire ! Mais de toute façon, comment ferait-il pour se remettre en marche ? Il est coincé dans une cage virtuelle dans le supercalculateur, et il est éteint ! En plus, on a pu sceller le labo grâce au matériel qui était là-bas.
- Oui, tu as sans doute raison. Viens, on va s'installer à la table de la fenêtre !

Le soir même, ils se retrouvèrent dans la chambre de Jérémie. Ça ne posait pas vraiment de difficultés, vu qu'ils étaient internes au Lycée. Sur le bureau de la chambre exiguë trônait un ordinateur flambant neuf. Jérémie l'alluma. Il se connecta au réseau pour parler avec Yumi, Ulrich et Odd sur un salon de tchat.


###Aelita&Jeremie est entré(e) sur le salon
<Aelita&Jeremie>  Hello ! on est là !
<OddSkater> Salut les einstein !
<Pentchak002> Oh, Odd, arrêtes un peu, tu veux ?
###MissJapan est entré(e) sur le salon
<MissJapan> Salut !
<Aelita&Jeremie> Alors, quoi de neuf par chez vous ?
<MissJapan> Ben, rien de spécial... Le stage quoi ^^
###Aelita&Jeremie a quitté le salon.
###>Machine reboot


L'ordinateur venait de redémarrer.
- Qu'est-ce qui se passe, demanda Aelita.
- J'en sais rien répondit Jérémie. Ah, saleté de machine, tu va pas commencer à faire des tiennes ! Pendant qu'ils parlaient, des lignes de code apparaissaient sur l'écran. J'y comprends rien continuait il. Il exécute un programme. Euh... XBackup.exe Ralala, ça sent pas bon !
Ceci dura encore pendant une demi heure, après quoi l'écran afficha "Successfull posession".
- Possession réussie commenta Aelita. Qu'est-ce que ça veut dire ?
- Rah, je sais pas, je le sent pas... répondit Jérémie. Il se reconnecta au serveur


###Aelita&Jeremie est entré(e) sur le salon
<Aelita&Jeremie> Re, tous
<MissJapan> Alors, les génies de l'informatique ont des problèmes avec leur ordi ?
<Aelita&Jeremie> On a été infectés par une sorte de virus...
<Aelita&Jeremie> On doit y aller. Je vais scanner le disque et voir ce qui c'est passé. On se recontacte demain, comme d'hab ?
<MissJapan> Oki ! ++ alors
<Pentchak002> ++
<OddSkater> Salut !
###Aelita&Jeremie a quitté le salon.
###Pentchak002 le salon.
###MissJapan a quitté le salon.
###OddSkater a quitté le salon.

Chapitre III : Altercations

 

Une jeune fille aux cheveux noirs d'ébène se promenait dans les rues de Tokyo. Elle avançait d'un pas énergique, faisant virevolter sa chevelure dans les airs. Elle portait un masque sur la bouche et le nez, le genre de masques que portent les chirurgiens pendant une opération. En réalité, la jeune fille n'était pas chirurgienne. Comme beaucoup de Japonais à Tokyo, elle portait un masque pour se protéger de la pollution qui stagnait en permanence dans les rues de la capitale. Elle détestait le métro ; elle avait l'impression d'étouffer, de ne plus être elle, mais de faire partie d'une masse, d'un tout. Elle étouffait, intérieurement et extérieurement. Elle était arrivée dans le quartier des affaires. Ici, les gratte-ciels n'étaient pas en béton, mais en verre. Quant on regardait en l'aire, on avait l'impression que ces hauts bâtiments étaient des cages d'ascenseur menant dans l'infini de l'univers, loin au dessus de l'agitation des rues de la citée Japonaise surpeuplée. Elle entra dans un de ces hauts buildings. Au dessus de la porte était écrit « Kaïashi Industries - Pekin center ». Une fois dans le hall, elle retira son masque. L'air était plus respirable dans ces locaux climatisés. Elle s'approcha de la réception. Une jeune femme - Sun d'après son badge - dit :
- Bonjour, Yumi
- Bonjour, Sun. Alors, ça s'est bien passé avec M. Zeng hier soir ? répondit la jeune femme.
- Plutôt... Dépêche toi de monter aux bureaux, il t'attend je crois...
- D'accord ! Merci Sun.
Yumi parlait dans un Japonais presque parfait. C'était pour cela qu'elle effectuait son stage à Tokyo plutôt qu'à Paris. Sa prof de Japonais avait insisté pour qu'elle aille au pays du soleil levant pour effectuer son stage. Elle emprunta l'ascenseur et commença sa montée au 23e étage. L'ascension s'accompagnait d'une ambiance musicale typiquement japonaise. Après quelques secondes, sans avoir l'impression d'avoir bougé, les portes s'ouvrirent en s'encastrant dans le mur. Yumi s'arrêta devant une double porte en bois. Elle ouvrit son sac et en sortit un badge à son nom : Yumi Ishiyama. Elle le passa devant un relief du décor qui émit aussitôt un petit « Bip » de satisfaction. Un panneau en bois à hauteur d'Homme coulissa, faisant apparaître un œil électronique. Yumi le regarda en face le temps qu'il analyse sa rétine. Tout se passa alors très vite : Elle crut entr'apercevoir un éclat rouge dans l'objectif de l'appareil qui émit aussitôt une sonnerie stridente. Un grand tableau représentant des paysans aux champs s'éleva dans le mur, laissant derrière lui une ouverture béante d'où sortit cinq hommes en costume noir. Yumi voulut reculer de quelques pas, mais elle s'aperçût que ses chevilles étaient maintenues au sol par des bracelets en acier. Un autre pan de mur coulissa alors laissant place à un homme brun aux cheveux en chignon resserré en haut de sa tête.
- Quel est donc ce vacarme s'écria-t-il !
- M. Zeng, dit un homme en noir. Cette jeune personne a tenté de pénétrer dans les bureaux, mais l'analyse rétinienne l'a déclarée négative.
- Mais sur quelle bande d'incapables suis-je encore tombé dit-il en levant les mains au ciel. C'est Melle Ishiyama, notre jeune stagiaire Française ! Ce n'est en rien surprenant que vous ayez étés licenciés de chez Opeka à en voir votre attention quand il n'y a pas d'alertes ajouta-il d'un ton sarcastique.
- Veuillez nous excusez, mademoiselle dit le plus grand des cinq hommes en s'inclinant
- Évidement dit M Zeng, maintenant qu'on voit qu'il y a eu erreur, on se confond en politesses pour essayer de ne pas se retrouver à la porte dans les cinq minutes qui suivent. Et bien c'est réussi. Dans cinq minutes, vous ne serez pas à la porte, mais dans une benne à ordures dit-il en devenant tout rouge. Melle Winko ! Une jeune femme accourut aussitôt. Melle Winko reprit Zeng. Je vous prie de donner dans la minute qui suit  les lettres de licenciement à ces cinq personnes. Dans cinq minutes très exactement (il jeta un coup d'œil à un cadran accroché par un bracelet à son poignet qui tenait plus de l'ordinateur que de la montre) je veux que ces imbéciles aient quitté cet immeuble, et qu'ils n'y remettent plus les pieds ! On ne salit pas ainsi ma réputation auprès de M Kaïashi !
Il entraîna alors Yumi dans les bureaux. Comme la façade de l'établissement, les bureaux étaient en verre. Ils s'avancèrent vers l'un d'eux, et  Zeng passa son badge devant le lecteur optique de l'ordinateur posé dessus. Une voix féminine synthétique dit d'un ton mielleux « Bonjour M. Zeng ». Ce dernier se tourna vers la jeune fille :
- Ce matin, tu devras me comparer les résultats de la Base centrale avec ceux  de serveur. Les gars du secteur G feront les sections de 1 à 200 000. Tu t'occuperas de celles de 200 001 à 200 500. Tu sais comment procéder je pense. Et bien je te laisse. Si tu as un problème, appelles Tosh ajouta-il en s'éloignant.
Yumi s'assit derrière le poste. Elle regrettait la présence de Jérémie. Lui il lui aurait concocté en moins de deux un super programme qui aurait fait tout le travail à sa place. Enfin, elle n'était pas venue ici pour regarder un logiciel faire le travail à sa place. Elle commença donc ce que Zeng lui avait demandé.

Cela faisait trois heures que Yumi comparait les résultats. Encore une cinquantaine, et j'ai fini se dit-elle en soupirant intérieurement. Elle souffla sur une mèche de cheveux qui lui tombait sur les yeux et se remit au travail. Elle arrivait à l'avant-dernière entrée quant elle perçut un léger miroitement rouge sur son écran. Une console s'ouvrit alors. Suivant les indications de Zeng, elle demanda conseil à Tosh. Il lui dit de taper « exit_window » et de valider. Elle entra la commande et releva les yeux sur l'écran avant de valider. Elle n'avait non pas écrit « exit_window » mais « clear_data* » Elle effaça la saisie et recommença. Elle avait encore entré la même chose. Intriguée, elle appuya sur la même touche plusieurs fois, et vit avec surprise l même message s'afficher. Elle alla chercher Tosh. Quant elle revint avec lui, la commande avait été validée et la console affichait maintenant des messages informant que le dossier machin avait été supprimé. Il y avait des centaines de messages de ce genre. Tosh poussa un cri et se rua sous le bureau. Il arracha l'alimentation de la prise secteur, mais rien n'y faisait. L'ordinateur continuait de supprimer les fichiers de l'entreprise. Tosh criait :
- Mais qu'est-ce que t'as encore foutu ! C'est pas vrai !
- Mais j'y suis pour rien ! Quelqu'un a du appuyer sur Enter pendant que je venais te chercher, répondait la jeune Japonaise
- Les portes s'ouvrirent dans un fracas qui passa inaperçu dans la salle ou tout le monde criait, comme si cela pouvait empêcher la machine de supprimer les fichiers. M Zeng accourut. Il bouscula une dizaine d'employés sans prendre la peine de s'excuser. Il apostropha Tosh :
- Tosh ! Qu'est-ce qui se passe !
- Yumi a lancé l'effacement des données du serveur répondit-il
- Ce n'est... commença Yumi
- Tais toi aboya Zeng. Et toi, espèce d'abruti dit-il en se tournant vers Tosh. Débranche cet ordinateur ! Tu attends quoi ? Qu'il ait fini de tout supprimer ? Tosh se redressa, le cordon d'alimentation en main
- Je n'y comprends rien, j'ai tout coupé, mais pas moyen de l'arrêter !
Soudain, une fenêtre s'ouvrit affichant un message « Fichiers effacés »
Zeng se tourna vers Yumi
- Yumi ! Parvint-il à dire avant que sa voix ne s'étrangle. Quelques minutes après, il se releva, rouge de colère. Winko ! Viens ici tout de suite ! La secrétaire accourut, toute ébouriffée.
- Oui, monsieur Zeng ?
- Renvoie-la immédiatement chez elle ! Qu'elle ne remette plus les pieds ici !

 

Notes de l'auteur :

¤ Cette FanFiction est en cours de rédaction ; par ce fait, ne vous étonnez pas de ne pas connaitre la fin :)

¤ Je précise également qu'il risque d'y avoir de très nombreuses oppositions avec la Saison 4, d'autant qu'il y en a beaucoup qui sont déja en conflit avec la saison 3 ;)

 
 

Commentaires
 
Note :
20
Commentaire de Aelita-Laly_Lyoko103 - Posté le 01-02-2023 à 12:42

Bien! Bonne continuation !

Note :
20
Commentaire de Lyoko1403 - Posté le 29-06-2013 à 17:37

TROP BIEN!!!!!!! LA SUITE!!!

Note :
0
Commentaire de Loree - Posté le 07-06-2013 à 21:22

une suite, une suite !:-* :-* :-* :-* :-*

Note :
15
Commentaire de Ornel - Posté le 07-04-2012 à 12:39

bon petit début, continu comme ça, j'attends d'en avoir plus pour pouvoir avoir un bon jugement. bonne continuation^^;-) (cc)

Note :
17
Commentaire de william21 - Posté le 24-05-2010 à 12:57

c'est vraiment très bien détaillé

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